Un jeune homme de 13 ans, Montella, a rejoint Empoli en 1987 et a rejoint le club local de Gli Azzurri, jouant dans la Série C1. Il a évolué au sein de l'équipe junior avant de faire sa première apparition en tant qu'équipe senior en 1990-91. Ce n'était pas une histoire de succès du jour au lendemain. En raison de problèmes de sélection et de blessures - notamment une fracture du péroné et une infection virale ultérieure - à la fin de la saison 1993-1994, Maillot Malaga il n’avait fait que 21 apparitions au total, bien que ses neuf buts suggèrent qu’il y avait un talent naissant. Au terme suivant, ce talent s’épanouit. Ses 17 buts en 30 apparitions ont marqué l'adolescent en tant qu'attaquant vedette en devenir et Gênes l'a signé, espérant que le passage à la Serie B n'affaiblirait pas sa menace.

Une telle prudence était peu nécessaire. Au cours de son mandat au Stadio Luigi Ferraris, il marquera 21 buts en 34 matchs. Il choisirait également le match du Derby della Lanterna contre la Sampdoria, rivale de la ville, lorsqu'il se rendait à Gênes, pour baptiser ce qui allait devenir sa célébration. Samp aurait le dernier mot à rire sur Il Grifone, mais non seulement il a été promu en Serie A à la fin de la saison, mais il a également emmené Montella à travers la ville, Vallecano lui permettant de réaliser son rêve de jouer dans le groupe supérieur italien.

Encore une fois, l’amélioration du statut n’a suscité aucune crainte pour Montella, confiante. Ses 22 buts en seulement 28 matches de championnat à ses débuts en font le deuxième meilleur buteur de la Série A, devançant le prolifique Filippo Inzaghi de seulement deux prises. À présent, ce sens intuitif rarement doué quant à savoir où tirer parti des opportunités les plus minces était visible de tous et, associé à une détermination de marquer des points et à une personnalité glacée à des moments clés, il distinguait les nouveaux talents véritable classe. On parlait inévitablement de ses débuts avec Azzurri, Arsenal mais il faudrait attendre un moment avant de suivre son prochain geste. Les deux saisons suivantes n’ont toutefois guère atténué les attentes de la prodigieuse montée de Montella. Vingt buts la saison suivante, suivis d'une autre douzaine en 1998-99 prouvant son pedigree.

Hide Comments | Add Comment